Après une petite année sans retourner voir mes parents, Je décidais finalement après une petite nuit nostalgique avec Daphné d’aller à Jude’s Creek pour une visite surprise. J’étais enfin allez visiter les vieux quartiers de Nathalia après six mois à visiter l’ouest du pays. Au moment de faire mes préparatifs, une femme du nom Fairya me contactait pour discutait d’un contrat de promotion, elle serait à la tête de l’élevage Crèmignon au sein de la ville. J’étais assez surprise, La dernière fois que j’avais été chez moi, il me semblait que c’était une affaire à l’abandon.  Ma mère n’avait pas parlé d’un changement de propriétaire. J’étais assez curieuse et même temps contente parce que la vie à Jude’s Creek allait peut-être devenir plus palpitante. J’espérais que rien ne lui été arrivé à l’ancienne propriétaire, elle passait de parfois quand j’aidais à la taverne, elle était incroyablement passionnante et passionné. Je ne mettais pas de temps avant d’accepter et lui fixais un rendez vous à l’auberge le lendemain matin.

Daphné qui voyait bien que j’étais perplexe, se rapprochait de moi et tirait sur mon pantalon afin d’attirer mon attention. Je lui caressais la tête et je la regardais avec un petit sourire « Daphné, on rentre à la maison ! Il va peut-être y avoir une surprise là-bas ». Bien qu’elle ne comprenait pas forcement, elle savait qu’on allait rentrer et c’était le principal. On prenait exceptionnellement un taxi, pour y arriver plus vite, Daphné passé la majorité du trajet émerveillé sur mon épaule par le paysage qui passait. J’arrivais enfin chez moi vers au début de la nuit, On se faisait un grand câlin pour ces retrouvailles. La nuit passait et on ne dormis que très peu, on passait une grande partie de la nuit avec ma mère à lui raconter des aventures de l’année qui venait de passer, Daphné s’endormie sur mes genoux dès le début de soirée.

Après une courte nuit, je retrouvais ma mère à l’auberge et trouvais une femme assise à l’intérieur au milieu des habitués. Daphné s’était poser sur mon épaules et émergeait doucement. Ma mère me confirmait  bien le changement de propriétaires de la pension, avec malheureusement la mauvaise nouvelle de la mort de la vieille dame qui la gérait anciennement. J’ai un instant de tristesse malgré que je la connaissais peu, ce genre d’événement est toujours triste. Elle me donnait une lettre qu’elle avait oublié de me donner la veille, me demandant de pas l’ouvrir avant que je sois prête. Je la rangeais machinalement dans ma poche, trop concentrée sur le contrat de la pension. J’étais un peu impatiente et pressée de rendre enfin servir à ma ville et ces institutions. Je prenais le café que j’avais commandé et j’approchais doucement de la jeune femme pour éviter de l’effrayer. « Bonjour, vous êtes bien Fairya ?»

Roidusel!

La jeune femme me confirmait avec un sourire très franc qu’elle était bien la nouvelle propriétaire du pensionnat de la ville « Oui, c'est moi. » je lui faisais un sourire un peu fatigué, contente d’être là, mais surtout impatiente qu’on discute.  Je prenais sur moi pour rester au maximum professionnelle même si au fond de moi je le savais, ca se voyais. Pendant elle me faisait un signe pour m’inviter m’asseoir, ce que je faisais sans trop d’hésitation. Elle faisait un petit mouvement de la tête pour regarder Daphné avec gentillesse: « Salut toi ! » Elle ne réagissait guère qu’un petit mouvement machinale de la main. Elle tournait vers moi toujours le sourire aux lèvres.

Elle enchainait : « Mademoiselle Duprès, donc ? C'est un plaisir de vous rencontrer. Votre travaille m'a beaucoup impressionné. » Je prenais une petite gorgé pour me réveiller un peu, je me ressaisissais. J’étais un peu gênée je ne savais pas trop répondre quoi répondre dans ces cas là « Enchanté fairya, Vous savez je ne fais pas du travail si extraordinaire, mais merci. » Je posais Daphné sur la table, elle se laissait faire, j’avais envie de l’embêter un peu, mais je devais garder un minimum de crédibilité pour le moment. J’avais le sentiment que ma première impression était au moins correcte donc on devait rester professionnelle. « Je tiens déjà à vous présentée Daphné, elle est très gentil, mais surtout très active. Elle adore faire des bêtises la coquine. » J’avais eu un léger rire « du moins quand elle est réveillée. »

Ma mère m’observait avec fierté de son bar presque la larme à l’œil. Elle apportait la boisson que j’avais commandée pour Daphné, dans une petite coupole qu’elle posait devant Daphné, une légère odeur de fleur émanait du petit récipient. C’était une petite recette de mon cru pour les jours où elle avait du mal le matin. Elle inspirait un bon coup puis commençait à la boire sans hésitation. Elle commençait à sortir doucement de sa torpeur.

Elle gardait toujours son sourire amical envers moi « Bon ca fait un certain temps que je ne suis pas revenue donc je ne savais pas pour les nouvelles de la pension. » Je jetais un coup d’œil un peu mesquin à ma mère qui servait à la table d’à côté, elle me faisait même signe un peu bête d’avoir oubliée de donner les nouvelles importante, surtout qu’elle travaillait à l’auberge. « Je tenais à vous souhaitez toutes mes condoléances pour votre grand-mère. » Je ne laissais pas l’ambiance s’alourdir et je continuais en laissant échapper un poil mon enthousiasme « J’aimerais en savoir plus sur vous, pour comprendre un peu la nouvelle philosophie de la pension.» Je faisais à un grand sourire, malgré moi je ne pouvais m’empêcher de la tutoyer à ce moment « et puis tu as l’air vraiment sympa !»

Roidusel!

J’écoutais avec attention sa réponse tout en buvant mon café. J’étais contente, elle me renvoie un sourire de sympathie, j’avais eu peur de l’avoir blessé. « Je suis née à Kalos, à Illumis. Petite, je venais déjà chez ma grand-mère pour des vacances, j'ai toujours rêvé d'être éleveuse, et ma grand-mère a toujours rêvé de me laisser le flambeau. Mais, les embrouilles entre ma mère et m grand-mère m'ont empêché de voir ma grand-mère pendant longtemps. J'ai fais des études d'infirmière, j'ai obtenu mon diplôme. J'ai travaillé quelques mois à l’hôpital d'Illumis puis, après une dispute avec ma mère, vis à vis de ma grand-mère je suis venue à Lathéa. Quand je suis arrivée, l'élevage était à l'abandon, il n'y avait que cette petite perle. » Elle me montrait son compagnon, Perdita, du doigt. Je tournais la tête pour le regarder, son pelage avait l’air d’être tout doux, ca se voyait quel en prenait bien soin. J’avais quelques idées en tête qui venait, je devais attendre de voir le nouveau Crèmignon. Elle continuait « Et la Magearna fidèle au poste » Je me tournais vers le Pokémon machine, les marques du temps étaient assez visibles sur ce qui semblait être sa peau. Je pouvais m’empêcher d’être éblouie par ce Pokémon. C’était la première fois que je voyais, ma curiosité grandissait sur ce Pokémon. J’allais le prendre en photo, pour que les futurs clients de la pension comprendraient la grandeur et l’importance de l’histoire de cet établissement.

« Puis, j'ai découvert ma grand-mère avec son Alzheimer. » Elle haussait les épaules presque dépitée. « J'ai passé les dernières semaines de ma grand-mère à m'occuper d'elle, et à sa mort j'ai reconstruit tout l'élevage de mes mains. » Je baissais un peu la tête, ca avait dû être dur pour elle. « J'ai aussi attrapé tous les habitants, sauf Perdi, bien sur, moi-même. J'essaie d'instaurer de l'entraide et un esprit familial au sein de Crèmignon. En ce moment, nous commençons les combats avant de donner de l'expérience à chacun d'entre eux et permettre aux dresseurs d'avoir envie de venir acheter des bébés de chez moi pour le talent en combat de leurs parents. Je mets aussi un point d'honneur à la personne qui adopte un de mes bébés. J'insiste pour avoir des nouvelles régulièrement, et si la personne ne me semble pas idéale pour le bébé en question, je ne lui vend pas. Je suis assez catégorique sur ce point. »

Je répondais avec une pointe de tristesse dans la voix, je repensais à Daphné. « Je comprends, c’est une bonne chose. Daphné je l’ai trouvé il y a quelque année dans le froid, surement abandonné par son prioritaire, vu qu’il n’y a pas trop de tarsal dans le coin. Je l’ai ramené chez moi pour la soigner, au début elle était toute peureuse et agressive. Je sais, on dirait avec son caractère actuelle. Elle a du subir des choses que je n’imagine pas et à vrai dire je n’ai pas envie de savoir, je sais juste que ca risque de mal tourner si j’apprends la vérité » Une pointe de colère s’échappais de ma voix, que je réprimais aussitôt  « bref, je l’ai soigné et avec le temps elle s’est attachée à moi au point de devenir mon compagnon de voyage. »

Je respirais un bon coup pour reprendre mes esprits, ne voulant plomber pas l’atmosphère. Je reprenais mon sourire habituel et j’apercevais le soleil dehors qui éblouissait de son éclat les fenêtres de l’auberge. Daphné un peu plus réveillé après descendait de la table pendant que je répondais à Fairya et allait voir ma mère qui sortait du bar. En tendant son bol pour le rendre, elle le prenait presque amusée de la situation. Elle revenait ensuite pour s’installer à ce qui lui semble être sa place mes jambes. « Fairya, je te propose qu’on finisse nos boissons et qu’on aille voir Crèmignon. J’ai hâte de rencontrer les chanceux qui y vivent. Et puis daphné pourrait se faire de nouveau ami ! » Je lui caressais la tête en même temps que je parlais à Fairya.

Roidusel!

Elle me faisait signe d’approbation, je finissais mon verre mon verre à peu près en même temps que Fairya, elle enchainait juste après « Eh bien, c'est partie. » Je prenais Daphné pour la poser sur une de mes épaules. J’allais faire un bisou à ma mère « j’ai du travail à ce soir », ma mère eu un petit sourire de fierté. J’avais vu dans le coin de l’œil que Fairya laissait un pourboire à ma mère. J’eu un petit sourire et je faisais un signe d’au revoir à travers la porte. Fairya avait un grand sourire aux lèvres, sûrement contente de montrer le résultat de ces efforts.

Crèmignon n’était pas loin à pied, à peine quelques minutes. Elle commençait à me faire un résumé des lieux : « Il n'est pas si différent de quand ma grand-mère le tenait. Je voulais garder le souvenir que j'avais de l'endroit. J'ai simplement modernisé la décoration, notamment pour les deux nurseries. Je suppose que tu es au courant que ma grand-mère élevait aussi des pokémons de type glace, donc j'ai une nurserie chauffée et une climatisée, comme avant. Simplement, elles sont peintes différemment, une bleue et une rouge. Les pochoirs ont été vraiment sympa à faire. » J’allais souvent jeune allez voir les Pokémon de la pension, mais je me souviens s’être inquiétée quand j’étais partis en voyant cet établissement se dégradé au fur et à mesure du temps.  Une légère brise se lève à l’approche de la pension, ca faisait du bien. La brise réveillait aussi Daphné, qui fut aussitôt intriguée par l’établissement qui apparaissait devant nous. Daphné descendait de mon épaule avec ces pouvoirs.

Daphné c’était collé à mes jambes prêtes à me défendre ne comprenant pas si la masse de Pokémon que l’on voyait apparaître à l’entrée de la pension. Elle était toujours aussi mignonne comme ca. En effet, quand on arrivait prêt de la pension j’apercevais un fluvetin dans un arbre pas loin du portail d'entrée, il se mettait à chanter. C’était surement pour annoncer à tout l'élevage que leur bien-aimé chef de pension rentrait. Le petit goupix d’alola entrait et rejoint un Feunard d'Alola un peu plus loin dans l’élevage et son petit, surement son frère ou sa soeur.

Elle faisait un petit signe pour rentrer : « Je t'en prie, rentre. » Je lui faisais un petit signe de remerciement de la tête pour la remercier. Daphné, elle se cachait derrière moi les voyant tous accourir vers Fairya. Cependant, sa méfiance se transformait en curiosité quand Fairya s’accroupissant pour les caresser. D’un coup une petite boule rose, commençait à tourner autour de Daphné, qui se rapprochait de moi, paniquée. Je lui faisais un petit signe avec un sourire un peu amusée, pour lui dire que c’était bon. Elle prenait son courage et allait vers le toudoudou, bien que surprise par l’arriver du grimalin, elle se laissait entrainé. Je constatais avec plaisir que les Pokémons se plaisait bien ici, sans être grandement surprise avec la discutions  que nous avions eue un peu avant à l’auberge. Une fois, ce que supposait être tous les Pokémons, qui étaientt arrivé Fairya me les présenter  « Je te les présente tous ? La toudoudou, c'est Wendy, le grimalin c'est Hadès. Le fluvetin c'est Diablo et dans le coin là-bas, avec Perdita, c'est Pongo. Et tout ça, ce sont les bébés. Seule la petite goupix est réservé, elle se prénomme Khionne. » Je faisais un signe de tête à tous les Pokémons qui me regardait, le toudoudou toujours accrochait à Daphné qui ne savait pas comment réagir. Elle me faisait avec le sourire et tu lui fais signe d'entrée d'avantage. Avec l’arrivé de tous ces Pokémons on était restées au niveau du portail. Elle me montrait une maison au loin : « Derrière la maison, là-bas c'est le terrain d'entraînement pour ceux qu'on me donne en pension. Et à l’ opposé, tu retrouves les nurseries et au milieu un champ de fleur pour les flabébé qui entoure le lac pour les types eaux. » Elle reposait  le mélo qui partait jouer avec les autres bébés, je faisais un coucou de la main à Daphné qui était entourée de bébé voulant jouer avec elle.

La pension n’avait pas réellement changé depuis mon enfance, j’avais un brin de nostalgie de revenir à cet endroit bien des années après. Le jardin était magnifique, je respirais un bon coup pour mettre les idées en place afin de faire la meilleure photo. L’ambiance était plaisante avec les Pokémons qui jouaient au loin, leur bruit d’innocence emportée par la brise qui venait caressait nos cheveux, le soleil à ce moment avait l’air de les accompagnait en faisant brillait le lieu de milles feu. Ce spectacle était magnifique presque grisant, je me sentais bien, je n’avais pu retenir un petit rire, voyant Daphné se dépêtré presque paniqué en essayant de jouer avec les bébés Pokémon. C’était l’emplacement idéal pour la photo de promotion. Je me tournais vers Fairya le sourire aux lèvres « Je pense que cet endroit serait parfait pour prendre le fond de la photo de promotion de Crèmignon. Cette ambiance si j’arrive à retranscrire ce que je ressens les gens viendront ! » Je faisais une pause dans ma phrase et je me tournais un brin de tristesse m’envahie. La bâtisse était marque du temps jusqu’au cœur de la pierre, de sa grande époque glorieuse jusqu'à sa déchéance la plus grande « Après j’ai d’autres idée mais surtout pour accentuer fierté de l’histoire de Crèmignon. »  Je parlais plus doucement avec de l’empathie pour ne pas blesser Fairya et lui remémorer trop de mauvais souvenir « peut-être faire Honneur à la mémoire de Grand-mère et de se quel a bâtie pour construire depuis sa jeunesse. » Je voyais du coin de l’œil Daphné qui essaie de capter mon intention mais sans espoir les autres Pokémon étant venu s’en mêler à son plus désespoir, ce qui me donnait un petit sourire plein d’amusement, elle s’en souvenir de cette journée. « Fairya, je voulais te félicitée pour les travaux même si je n’ai pas tous vu. Ca me rappelle que je me venais souvent enfant ici. Je pourrais te raconter quelqu’un de ces souvenirs si tu veux ? » Je m’étais pas rendu compte mais j’avais souris naturellement j’étais heureuse d’être là !

Roidusel!